« Lettre à un ange » ouvre à l’amitié sa voie nacrée, Qui en instruments d’or rose et d’argent chante Liberté Dans l’écho des rires légers. La frêle Montgolfière peut s’échapper Flottant dans l’azur brodé De notes en couleurs métissées. Par-dessus les cimes effilées, Elle survole le monde caché Qui lui ouvre son écrin de beauté ! L’Ecume en musicalité, Dépose ses lames salées Sur les nuages immaculés. Où es-tu amertume des jours passés ? Enfin tu te tais Apaisée par tant de paix* Le soir apporte sa douceur enivrée, L’Eternité s’est dévoilée Dans nos âmes bercées.
PARENTHESE EN JEUDI